résultat compatible avec une excrétion virale significative

ComCorest une vaste étude qui inclut plus de 160 000 participants* avec infection aiguë par le SARS-CoV-2. Elle permet de décrire les lieux et les circonstances de contamination par ce virus. Retour sur l’intérêt et les limites de l’étude ComCor, ou ce que l’on peut retenir de ses résultats.*19 avril 2021 Lesdonnées relatives à la cinétique d’excrétion virale et à la durée de contagiosité d’un malade ayant présenté un Covid -19 1.1 . Cinétique de l’excrétion virale • Infections symptomatiques Au cours de la phase pré-symptomatique, le virus SARS-CoV-2 peut être détecté par RT-PCR dans les échantillons nasoou oro-pharyngés jusqu’à 5 à 6 jours (réplication virale de Uneautre étude menée dans l’État de Washington et portant sur trois personnes asymptomatiques a donné des résultats similaires. Une étude portant sur 76 patients hospitalisés à Nanchang, en Chine, dont l’infection par le SRAS-CoV-2 a été confirmée en laboratoire, a révélé que les cas graves avaient une charge virale Leseffets indésirables impliquant des étourdissements et une syncope étaient plus importants fréquent chez les patients traités par CONTRAVE (10,6%) que chez les patients sous placebo patients (3,6%); les étourdissements ont représenté presque tous ces événements signalés (10,4% CONTRAVE, 3,4% placebo). Cetessai fait suite à des résultats favorables et qui ont démontré une preuve de concept avec une activité antivirale significative et un arrêt rapide de l’excrétion virale nonton spider man into the spider verse dimana. View PDFIntroductionActuellement, il n’existe pas de traitement antiviral spécifique pour la prise en charge des pneumopathies sévères à SARS-CoV-2. Le Haut Conseil de santé publique français a recommandé l’utilisation du lopinavir/ritonavir LPV/RTV qui a montré une efficacité in vitro contre ce virus. La charge virale atteignant son maximum dans la première semaine de l’infection, l’efficacité de ce traitement est probablement optimale s’il est administré pour des formes de pneumopathies précoces survenant au cours de cette première et méthodesNous avons conduit une étude rétrospective à partir des données du dossier patient d’un hôpital de 350 lits, comparant 2 prises en charge des pneumopathies précoces à SARS-CoV-2 soins de support SDS seuls versus SDS associés à un traitement par LPV/RTV 400 mg/100 mg 2 fois par jour, à l’exclusion de tout autre traitement. Les patients âgés de 18 à 80 ans, hospitalisés pour pneumopathie précoce à SARS-CoV-2 avec PCR positive, en service médecine hors unité de soins intensifs USI, ayant reçu au moins 48 h de traitement par LPV/RTV débuté dans les 10 jours à partir du début des symptômes ont été inclus dans l’analyse. Le critère de jugement principal était le transfert en USI. Les critères de jugement secondaires étaient la mortalité hospitalière, la mortalité à j7, la survenue d’un syndrome de détresse respiratoire aigu, et la durée totale d’ le 2 mars et le 12 avril 2020, 59 patients parmi les 225 26 % hospitalisés pour infection à SARS-CoV-2 étaient éligibles pour l’analyse. Vingt 34 % avaient reçu un traitement par LPV/RTV + SDS et 39 66 % avaient reçu des SDS seuls. Le délai médian entre le début des symptômes et l’hospitalisation était de 4 jours IQR [3–6] et la durée médiane de traitement par LPV/RTV était de 6 jours, IQR [5–7]. Les 2 groupes étaient comparables en termes de comorbidité âge [médiane 56 ans, IQR 46–65], sexe, IMC, diabète, insuffisance cardiaque et respiratoire. Dix patients ont été transférés en USI 3/29 15 % dans le groupe LPV/RTV + SDS et 7/39 18 % dans le groupe traitement par SDS seuls p = 0,37. La mortalité hospitalière était similaire 2 patients dans le groupe SDS seuls et aucun dans le groupe LPV/RTV + SDS, p = 0,4. Nous n’avons pas retrouvé de différence pour les autres critères de jugement. Dans le modèle de régression logistique incluant le sexe, l’âge, et la prise de LPV/RTV, aucun facteur n’était associé de manière significative à une réduction du transfert en de LPV/RTV dans les pneumopathies précoces à SARS-CoV-2 n’a pas diminué significativement le taux de passage en USI ni la mortalité hospitalière. Nos résultats justifient cependant que la stratégie d’administration précoce d’une thérapie antivirale soit évaluée dans le cadre d’un essai clinique randomisé plus by 0View AbstractCopyright © 2020 Published by Elsevier Masson SAS Santé 21 juin 202021 juin 2020 Redaction 1dex Aucun commentaire Vous n'êtes pas autorisé à visionner cette page. Merci de vous abonner à l'1dex ou alors de vous connecter avec votre compte. Nom d'utilisateur Mot de passe Se souvenir de moi Mot de passe oublié ← Les joueurs de basket de Washington s’engagent contre l’injustice raciale LA JUSTICE ESPAGNOLE DONNE TORT A NEYMAR → View PDFDiagnostic biologique de l’infection à Sars-CoV-2 stratégies et interprétation des résultatsBiological diagnosis of Sars-CoV-2 infection strategies and interpretation of resultsRésuméPour faire face à l’émergence du Sars-CoV-2 responsable d’une pandémie mondiale, de très nombreux tests diagnostiques ont été développés et mis sur le marché dans un délai très court. La RT-PCR sur prélèvement rhino-pharyngé est la méthode de référence pour le diagnostic et le dépistage de l’infection à Sars-CoV-2 mais les tests développés présentent de grande variabilité en termes de sensibilité et de délai de rendu des résultats. Les tests antigéniques présentent en général une sensibilité plus faible mais présentent l’avantage d’une mise en œuvre plus simple et plus rapide. Devant des tableaux évoca-teurs de Covid-19 avec un résultat de RT-PCR négatif, une sérologie peut être recommandée avec le dosage des IgM et des IgG. La sérologie est également un outil pertinent pour les études épidémiologiques. Néanmoins il est important de rappeler que le taux d’anticorps anti-Sars-Cov-2 décroit avec le temps et peut ainsi impacter les résultats d’études séro-épidémiologiques. Malgré la nécessité de répondre rapidement à un besoin diagnostique urgent, il demeure indispensable de valider les méthodes choisies sur un panel d’échantillons bien caractérisé, les performances de certains tests étant parfois insatisfaisantes pour assurer un diagnostic response to the emergence of Sars-CoV-2 responsible for a global pandemic, a large number of diagnostic tests have been developed and brought to market in a very short period of time. RT-PCR on nasopharyngeal swab samples is the reference method for the diagnosis and screening of Sars-CoV-2 infection, but the tests developed are highly variable in terms of sensitivity and turnaround time. Antigenic tests generally have lower sensitivity but have the advantage of simpler and faster implementation. In front of Covid-19 symptoms with negative RT-PCR results, serology can be recommended with IgM and IgG assays. Serology is also a relevant tool for epidemiological studies. However, it is important to remember that the level of anti-Sars-Cov-2 antibodies decreases over time and can therefore impact the results of sero-epidemiological studies. Despite the need to respond rapidly to an urgent diagnostic need, it remains essential to validate the methods chosen on a well-characterized panel of samples, as the performance of certain tests is sometimes unsatisfactory to ensure a reliable clésCovid-19Sars-CoV-2RT-PCRsérologietests rapidesKeywordsCovid-19Sars-CoV-2RT-PCRserology immunoassaysrapid testsCited by 0View AbstractCopyright © 2020 Elsevier Masson SAS. All rights reserved. La charge virale d’une personne représente la quantité de virus circulant dans son sang. Il serait donc logique de penser que plus cette quantité est élevée, plus les symptômes d’une éventuelle maladie sont sévères. C’est d’ailleurs ce que suggèrent les chercheurs chinois dans une étude publiée par la revue scientifique The Lancet, le 19 mars 2020, dans le cadre de l'épidémie de a analysé les données de 76 patients admis à l’hôpital de l’université de Nanchang, en Chine, entre le 21 et le 4 février 2020. Ces patients avaient été testés positifs au Covid-19 après avoir subi un prélèvement au niveau du charge virale élevéeCertains cas répondant à des critères de détresse respiratoire, d’un taux précis de saturation en oxygène au repos, et d’autres complications de la maladie, ont été classés comme graves et placés en unité de soins intensifs. Au total, 46 personnes présentaient des symptômes bénins, et 30 personnes, majoritairement plus âgées, des signes avoir analysé des échantillons des prélèvements, les auteurs de l’étude déclarent que "la charge virale moyenne des cas graves était environ 60 fois plus élevée que celle des cas bénins, ce qui suggère que des charges virales plus élevées pourraient être associées à des résultats cliniques graves". Cette charge virale peut varier en fonction du stade de la maladie et, selon la même équipe, atteindrait son pic lors de la première semaine suivant l’apparition des la maladieMais, même en prenant en compte ces variations, les chercheurs estiment que, comme pour le SRAS en 2002-2003, "les patients sévèrement atteints de Covid-19 ont tendance à présenter une charge virale élevée et une longue période d’élimination du virus." Ce constat, d’après eux, suggère que la charge virale pourrait être considérée comme un marqueur utile pour évaluer la gravité de la maladie, ainsi que le la charge virale représente un facteur de contamination certain, ses effets au niveau du coronavirus n’ont pas encore été bien déterminés. D’après une étude menée par l’université Cornell, aux Etats-Unis, il n’existerait pas de différences entre la charge virale des patients italiens symptomatiques et asymptomatiques. Des recherches supplémentaires doivent être menées pour mieux comprendre ces enjeux. Les différents tests Trois méthodes biologiques, la RT-PCR, les tests antigéniques, la sérologie permettent de diagnostiquer une infection à SARS-CoV-2, leurs indications sont complémentaires et ciblées selon le stade de l’infection. Le malade est contagieux 2 à 4 jours avant les premiers symptômes de la maladie. ne l’est plus 7 à 10 jours après les premiers symptômes, soit 2 semaines après la contamination. La RT-PCR Test de référence par prélèvement nasopharyngé postérieur, il détecte la présence de l’ARN viral. Spécificité excellente il ne détecte que le SARS-CoV-2. Sa sensibilité dépend de la qualité du prélèvement profond et du stade de l’infection, l’excrétion respiratoire virale est maximale à la fin de la première semaine après contamination et diminue lorsque la réponse immunitaire IgM puis IgG apparait. Dans l’appareil de RT-PCR les brins d’ARN sont copiés et amplifiés en un processus cyclique. La charge virale est reflétée par le nombre de cycles Ct de seuil de positivité Ct 35 basse. Examen à réaliser chez un sujet suspect d’infection à SARS-CoV-2, symptomatique ou non. Après un contact, le test PCR doit être réalisé dans les 5 à 8 jours après le contact. Les lieux de prélèvement possibles sont référencés sur ce site dédié Afin de dédramatiser la situation pour l’enfant, de nombreux pédiatres réalisent eux-mêmes le prélèvement à leur cabinet, à charge des parents de porter simplement le tube au laboratoire. Les tests antigéniques TROD Ces tests rapides résultat en moins de 15 mn détectent la présence de protéines virales et permettent un diagnostic d’infection SARS-CoV-2 en ambulatoire. Spécificité excellente, sensibilité moindre que celle de la PCR. Si leur sensibilité est moindre 85% en moyenne, ils permettent un dépistage large de l’infection. Un test antigénique se positive à partir de 10 000 copies virales par ml alors qu’une PCR détecte dès 1000 copies. La qualité du prélèvement est essentielle, les résultats dépendants de la quantité de virus présent, toujours faire un prélèvement naso-pharyngé profond. Un prélèvement salivaire est moins fiable, du fait de la dilution et des enzymes salivaires. Le 25 septembre 2020 la HAS a validé le recours au prélèvement oropharyngé pour les tests RT-PCR des personnes asymptomatiques chez qui le prélèvement nasopharyngé est contre-indiqué prendre garde au réflexe nauséeux éventuel.Avis HAS. Le 9 octobre 2020 la HAS a proposé que les TROD soient uniquement utilisés chez les sujets symptomatiques, lors des 4 premiers jours de symptômes charge virale élevée Consulter la recommandation HAS personnes asymptomatiques dans le cadre de dépistages collectifs ciblés établissements collectifs Les personnes symptomatiques, dans les 4 premiers jours après l’apparition des symptômes, sous réserve d’un âge inférieur ou égal à 65 ans et de l’absence de comorbidité / absence de risque de développer une forme grave de la maladie Parution au Journal Officiel du 17 novembre 2020 de la réglementation d’usage des tests antigéniques La sérologie A partir de la troisième semaine après le contage, deux semaines après les premiers symptômes, le taux d’anticorps s’élève progressivement, IgM puis IgG. Un test de diagnostic rapide à partir d’une goutte de sang avec un résultat en moins de 10 mn peut mettre en évidence ces anticorps, témoignant d’une infection ancienne. A ce moment là l’enfant n’est plus contagieux. Commentaire en cas de RT-PCR positive chez un sujet déjà infecté dans les semaines précédentes, la sérologie est indispensable, la présence d’anticorps associée à une charge virale faible Ct>35 témoignant d’une présence de SARS-CoV-2 non contagieux. A ce jour les données manquent pour savoir si ces anticorps sont protecteurs, et pour quelle durée. Pour le matériel consultez la page “Nos outils”. Démarche diagnostique Infovac France Enfant symptomatique un test positif fait le diagnostic Enfant cas contact un test négatif n’élimine pas le diagnostic, une RT-PCR est nécessaire, ou refaire un test quelques jours après si l’enfant reste à domicile, ne va pas en collectivité. Règles pour tout prélèvement des voies respiratoires Port d’un masque de protection FFP2 Port systématique de lunettes de protection ou une visière Toujours utiliser un écouvillon de petit diamètre Une seule narine si le prélèvement est bien réalisé en rhino-pharyngé postérieur, en tournant l’écouvillon pour bien frotter la muqueuse Modalités de rémunération des médecins pour la réalisation des tests antigéniques Patient testé négatif cotation C2 46€ Patient testé positif, cotation C2+MIS 46+30 € en raison de l’explication de l’ensemble des mesures à prendre isolement, gestes barrières, points sur les traitements nécessaires, évaluation des situations devant faire l’objet d’une vigilance particulière et de l’initiation du contact tracing. Ces consultations sont prises en charge à 100 % par l’assurance maladie obligatoire en utilisant le code EXO DIV 3. Déclaration pour traçabilité Un document de traçabilité est à remettre au patient Tout résultat positif comme négatif devra être saisi dans un système de saisie SI-DEP recueillant l’ensemble des résultats de tests non encore en ligne Références Immunité et méthodes diagnostiques de la Covid-19 Document Infovac Les tests de diagnostic rapide du SARS-CoV-2 Quelle stratégie ? M&E octobre 2020 HAS Place des TROD dans la stratégie diagnostique de prise en charge de la Covid-19 HUHM Evaluation de la performance diagnostique des TROD Covid-19 Consultez nos fiches Covid-19

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